La première chose à comprendre pour étudier correctement le physique de Titus et qu'il est, à l'origine, un des clones de Shéhérazade. Ainsi il hérite de nombreux traits physiques de celle-ci, bien que le genre les opposent. Titus possède des yeux d'un vert transcendant, capable d'envoûter tout ce sur quoi il pose les yeux. Un détail vient cependant adoucir ce regard naïf, en effet le grain de beauté situé sous l’oeil gauche vient rajouter une touche de féminité au regard du jeune magicien. La chevelure de Titus est ce qu'il a de plus ressemblent à sa génitrice. Ses long et magnifiques cheveux blonds viennent, dans une parfaite harmonie, se déposer tout autour du visage de Titus. Ses cheveux lui arrivent à la hauteur de la nuque, à deux exception près. Ses deux nattes à moitiés finies viennent elles aussi se déposer sur son épaule droite et rappellent une nouvelle fois sa part de féminité. Titus porte une boucle d'oreille sur l'oreille gauche, à la couleur mauve qui s'accorde parfaitement avec le talisman de mage qu'il porte au buste, et qui se contraste toujours aussi bien avec sa chevelure. Maintenant le corps. Quand bien même nous savons tous à quel point Titus est un mage très puissant, son corps n'en reste pas moins celui d'un jeune garçon plutôt chétif. Le buste dont nous parlions à l'instant ne se bombe que pour lui permettre de respirer et lorsqu'il expire, montre un corps peu entraîné aux exercices physiques. Les bras et les jambes de Titus sont ceux d'un magicien, au même titre que le reste de son corps, et ne montre aucun symptôme de faiblesse, ni de force. Titus semble s'être accoutumée à l'habit de magicien et donc continue de les porter. Cet ensemble comprend évidemment le très célèbre chapeau de magicien à la forme pointue, et d'un noir interrogateur. A part cela, rien d'important n'est a souligné sur le style vestimentaire de Titus, hormis les couleurs omniprésentes dans son habit, qui sont le blanc et le noir.
Caractère
Définir le portrait psychologique est on ne peut plus compliqué, car il n'a que réellement deux ans, et est déjà mort une fois. Sur ces deux ans, la plus grande crainte de Titus était celle de mourir sans avoir la possibilité d'explorer le monde et surtout, mourir en laissant Marga seule. Ainsi, définir les péchés et les défauts de Titus est complexe, car n'étant pas vraiment humain, les péchés capitaux ne s'appliquent pas exactement de la même manière pour lui que pour le reste du genre humain. Aussi peu gourmand que prompt à la luxure, Titus ne laisse pas non plus transparaître un brin d’orgueil. Du haut de son rôle de Haut prêtre de Reim, il ne laisse pas non plus la jalousie corrompre son âme, et se doit de montrer l'exemple dans ce sens là. Ainsi, il reste la colère, l'avarice et la paresse. Lors de son combat contre Aladdin, et en observant les faits des disctricts inférieures de Magnostadt, Titus laisse exploser sa colère, mais peut-on juger objectivement quelqu'un seulement sur des réactions altérer par sa condition semi-humaine ? Si Titus n'a désormais plus le droit de se prêter à la paresse, nous pouvons considérer que d'un certaine manière, et tout au long de sa courte vie, Titus s'est abandonné à l'avarice. L'avarice dont il fait preuve est surtout intellectuelle et pour des choses simples. Alors qu'il séjournait à Magnostadt, son '' avarice '' n'a cessé de lui faire découvrir de nouvelles choses, les petites choses simple de la vie, cela ne manquant pas d'agacer son fidèle ami Aladdin, lui-même accompagné de Sphinctus. Au sujet de l'amour et de la haine, Titus est là aussi assez difficile à cerner. En effet comme Titus n'a connu que Shéhérazade et qu'il ne la reconnaissait pas comme un mère, il est difficile de penser qu'il « l'aimait » comme de nos jours un enfant de deux ans peut aimer sa mère. Cependant, Titus ferra l’expérience de l'amour une fois, dans les bas-fond de la ville des magiciens et y ferra la rencontre de Marga, petite fille à laquelle son coeur s'éprendra jusqu'à la soustraire à son destin funeste avec l'aide de Mogamett. Si l'amour est la plus belle chose, qu'en est-il de la haine ? Au regard des évènements s'étant produits avant et pendant la guerre, nous remarquons que Titus n'est pas prompt à haïr son prochain. Cependant, peut-être cette haine s'est-elle retournée contre lui-même, le faisant ainsi regretter d'être né et aller jusqu'à même s'effondrer en larme devant le directeur de l'académie de magie.Mais maintenant Titus possède deux rangs extrêmement importants. Celui de Magi et celui de dirigeant du puissant empire de Reim.
Histoire
Mon dernier souvenir était celui d'un champ de bataille dévasté, certaines montagnes étaient même sans desssus dessous. Plusieurs personnes aux visages étrangement familiers criaient un prénom...« Titus !! Titus !! »... Titus...? Etait-ce... Mon prénom ? Aladdin...? Pourquoi soudain ce nom venait me transcender l'esprit. J'étais à peine vêtu et tenir sur mes jambes me demandait un effort surhumain. Voici tout ce dont je me souvenais lors de mon premier réveil en tant que Haut prêtre de l'Empire de Reim, mais ça, je ne le savais toujours pas. Une description de la chambre n'était pas possible. Il me faudrait surement plusieurs heures pour vous expliquer, vous décrire chaque élément de cette chambre tant celle-ci était grande, meublée, et magnifiquement décorée. Les rideaux semblaient à eux seul avoir le prix d'un château sur la plus belle île du monde. De magnifiques rideaux cousus à la main et ornés de fils d'or. Les draps, les décorations en or massives... Tout cela m'appartenaient vraiment ? A peine avais-je eu le temps de poser un pied au sol, que plusieurs domestiques pénétraient dans ma chambre, comme par enchantement. « Votre nuit s'est elle déroulée comme vous le désiriez, Titus-Sama ? ». Se retrouver envahie par un dizaine de servantes à quelques dizaines de secondes du réveil était pour le moins troublant, et quand bien même je me trouvais complètement nu, rien ne semblé pouvoir les arrêter. D'une part on me proposer de quoi me désaltérer, d'une autre on m'enfilé une majestueuse tunique en soie, la nourriture m'assiéger de tous les côtés, déjà mes cheveux étaient sujets de discussion pour savoir quels seraient les soins d'aujourd'hui.
- STOP
Mon cerveau venait tout juste de saturé. La présence féminine dans cette pièce venait embrumée jusqu'à même mon esprit. Je jetais au sol l'habit que l'on venait de m'imposer, et je repoussais furieusement les deux jeunes femmes qui tenaient ma tête et mes cheveux.
- Est-ce une coutume ici que d’agresser les gens au réveil ? Et puis même où suis-je donc ? Et qui êtes vous ?
La présence féminine ne tardait pas à être en déclin puisqu'un homme à l'aura terriblement puissante, à son tour lui aussi, pénétrait dans ma chambre.
- Vous souvenez vous de moi ? Titus-Sama...? Je suis Mu Alexius. Votre plus fidèle allié et le chef du Fanalis Corp. Nous portons le même nom de famille car tous, sommes d'une façon ou d'une autre liés à Shérazade-sama, l'ancienne Prêtresse de Reim. Je vous en prie, habillez vous.
Après un mouvement bref pour récupérer la tunique précédemment jetée, il se rapprochait de moi et m'habilla à sont tour. J'avais l'étrange sensation que je pouvais lui faire confiance. Très vite, les choses allaient se compliquer. Après m'être vêtu comme il était coutume de le faire ici, Mu et moi-même avions eu une très longue discussion sur ce que je suis et sur ce que de je devais faire. Au fur et à mesure de son récits, des bribes de souvenirs me revenaient. Le temps de quitter cet endroit était venu, et à ma plus grande surprise, devant la porte de ce qui sembler être ma chambre, une trentaine de personnes s'y tenaient. Tous agenouiller et la tête inclinée vers le sol. A mon arrivé, il s'exprimaient tous :
- Okaerinasai ! Titus-sama !
Certains d'entres eux pleurer, tandis que d'autres tentaient tant bien que mal de contenir leurs larmes, Mu enchaîna immédiatement par une nouvelle explication :
- Titus-sama, ce sont le Fanalis Corp dont je vous ai parlé. Ils sont prêt à donner leur vie pour vous, pour Reim. Ce sont aussi mes frères et mes soeurs.
Je ne pensais pas qu'en si peu de temps il était possible de ressentir à la fois une tristesse si profonde, de l'incompréhension et surtout, d'être gêner à ce point. Pourquoi tant d'homme et de femmes dont je n'avais que de très bref souvenir mourraient pour moi ? Trop d'interrogations restaient en suspend et cela contribuer à mon sentiment de malaise. Très vite, les choses devenaient encore plus compliquées. On m'annonçait que tous l'Empire était en deuil et que je devais m'affirmer en tant que Magi et surtout, en tant que nouveau dirigeant de Reim. Maintenant dans ce qui semblait être une sorte de bureau, ou du moins, un endroit où travailler. On m'annonçait encore et encore que des décisions devaient êtres prises dans certains domaines. A savoir en terme de politiques extérieurs du fait de l'Alliance avec Sindria, en matière d'Economie où l'on devait revoir les taxes afin de protéger l'économie interne de la concurrence étrangère, ou encore se préparer à l'arrivé de nouvelles marchandises venues de pays exotiques dû, encore une fois, à notre nouvelle alliance, mais aussi en matière de sécurité puisqu'il semblait qu'un nouveau meurtrier roder dans les rues de la capitale la nuit tombée. Pour la deuxième fois dans une même journée, mon cerveau venait d'être réduit à néant. Je n'avais pas compris le dixième de ce qu'il venait de m'être demandé par de simples sujets. Devant mon regard dubitatif et interrogateur, Mu vint de nouveau à mon secoure, en ordonnant de repousser toutes ces décisions à la semaine prochaine, et que lui-même en personne irait attraper ce tueur en série, avec l'aide de ses compagnons Fanalis. Il précisait cependant qu'une chose parmi toutes celles énoncées était d'une importance capitale. En effet regagner la confiance du peuple et le soutien des armées étaient plus que prioritaires pour le bon fonctionnement globale du pays, et pour éviter tous coups-d'état ou encore manifestations qui pourraient mal terminer.
On m'annonçait que le discoure se tiendrait au couché du soleil, à l'endroit le plus fréquenté de la Capitale de Reim.
Désormais, je devais m'adresser à tout un peuple qui croyaient en mes paroles comme à celle d'un messi. Chaque mot était important, chaque intonation, chaque respiration pouvait changé le cour du monde. Voici comme on me l'avait présenté, et pour être honnête, je pensais sincèrement que l'on avait un peu aggravé la situation pour me responsabiliser d'avantage. Ainsi le moment tant attendu. La pression se ressentait de plus en plus, et faisait tremblé mes jambes déjà faibles. Je me retrouvais comme par magie surélevé, surplombant la foule qui s'était tut en me voyant m'élever. La lumière m'aveuglée complètement et mes yeux avaient du mal à s'y accommoder. Ma respiration pouvaient s'entendre de l'autre côté de la ville. Non non, croyez moi. Je ne suis pas entrain d'exagérer, il semblait que de très bon magicien utilisant la magie du son étaient tous très concentrés sur moi, et de ce fait ma voix sembler pourvoir atteindre les étoiles. Je sortais le papier sur lequel on avait décider de ce que je dirai, et que je ne m'étais même pas entraîner à lire, comme on me l'avait conseillé maintes et maintes fois.
- Oyez... Citoyens de Reim... […]
L'avenir de ce pays est pour le moins incertain, pire même. L'avenir de ce monde est en péril. Il est de mon devoirs de le façonner de sortes que tous ensembles, nous puissions vivre en harmonie.
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